LA PASSERELLE DES NATIONS
Montevrain

LA PASSERELLE DES NATIONS
Montevrain

UN TRAIT D’UNION

Le projet doit dialoguer avec un contexte existant et un paysage urbain en devenir. La passerelle constitue aujourd’hui une petite opération, si elle est comparée aux efforts mis en place pour développer les deux Zac, mais elle est investie d’une valeur symbolique qui dépasse son échelle. Comme un trait d’union, entre la na- ture et des réalités en devenir, elle a le rôle majeur de trait d’union.

UN TRAIT D’UNION

Le projet doit dialoguer avec un contexte existant et un paysage urbain en devenir. La passerelle constitue aujourd’hui une petite opération, si elle est comparée aux efforts mis en place pour développer les deux Zac, mais elle est investie d’une valeur symbolique qui dépasse son échelle. Comme un trait d’union, entre la na- ture et des réalités en devenir, elle a le rôle majeur de trait d’union.

Lieu | Montevrain, FR

Maîtrise d’ouvrage | Epamarne

Architectes | Nicola Spinetto Architectes et Rintala Eggertson Architects

Équipe projet |SN AIK (éclairage), INTECO (économie, VRD, OPC), Builders&Partners (BIM)

Bureau d’étude | Sylva Conseil (Bois)

Paysagistes | Après la pluie

Programme | Construction d’une passerelle bois piétonne et cyclable et aménagement de ses abords

Surface | Longueur : 40 m et 30 m , largeur : 5 m

Coût | NC

Calendrier | Concours 2019

Photographies | Artefactory Lab

Le projet doit dialoguer avec un contexte existant et un paysage urbain en devenir. La passerelle constitue aujourd’hui une petite opération, si elle est comparée aux efforts mis en place pour développer les deux Zac, mais elle est investie d’une valeur symbolique qui dépasse son échelle. Comme un trait d’union, entre la na- ture et des réalités en devenir, elle a le rôle majeur de trait d’union. Un signe de continuité́, non seulement physique, mais aussi des engagements qui ont guidé le développement de l’Eco- quartier.
Le défi consiste à concevoir une passerelle 100% bois une avec portée de 40+30 m. Il s’agit d’une passerelle paysagère qui permettra de faciliter le franchissement des voies du RER et qui sera un corridor écologique. La passerelle est décomposée en deux parties et permet d’offrir des aménagements urbains de qualité de chaque côté de la passerelle. Ce désaxement nous accompagne pendant le franchissement en créant une séquence de perspectives et proposant au centre un jardin reliant les deux passerelles. Il fut imaginé comme un espace de transition calme, tranquille ; à l’instar d’un jardin japonais ; de grands arbres s’élèvent dans le ciel et créent un contraste marquant avec l’horizontalité des deux ponts. Nous souhaitons donner la possibilité au piéton d’une pause au plus près de la nature. Nous avons proposé une atmosphère simple, presque minimaliste permettant d’acquérir une connexion visuelle avec le site où domine l’esthétique pragmatique de l’ingénierie ferroviaire. Le projet utilise le bois autant que possible, non seulement pour la structure de la passerelle, mais aussi pour le plancher, les balustrades et clôtures organisées dans un système de composition rythmique.

Lieu | Montevrain, FR

Maîtrise d’ouvrage | Epamarne

Architectes | Nicola Spinetto Architectes et Rintala Eggertson Architects

Équipe projet |SN AIK (éclairage), INTECO (économie, VRD, OPC), Builders&Partners (BIM)

Bureau d’étude | Sylva Conseil (Bois)

Paysagistes | Après la pluie

Programme | Construction d’une passerelle bois piétonne et cyclable et aménagement de ses abords

Surface | Longueur : 40 m et 30 m , largeur : 5 m

Coût | NC

Calendrier | Concours 2019

Photographies | Artefactory Lab

Le projet doit dialoguer avec un contexte existant et un paysage urbain en devenir. La passerelle constitue aujourd’hui une petite opération, si elle est comparée aux efforts mis en place pour développer les deux Zac, mais elle est investie d’une valeur symbolique qui dépasse son échelle. Comme un trait d’union, entre la na- ture et des réalités en devenir, elle a le rôle majeur de trait d’union. Un signe de continuité́, non seulement physique, mais aussi des engagements qui ont guidé le développement de l’Eco- quartier.
Le défi consiste à concevoir une passerelle 100% bois une avec portée de 40+30 m. Il s’agit d’une passerelle paysagère qui permettra de faciliter le franchissement des voies du RER et qui sera un corridor écologique. La passerelle est décomposée en deux parties et permet d’offrir des aménagements urbains de qualité de chaque côté de la passerelle. Ce désaxement nous accompagne pendant le franchissement en créant une séquence de perspectives et proposant au centre un jardin reliant les deux passerelles. Il fut imaginé comme un espace de transition calme, tranquille ; à l’instar d’un jardin japonais ; de grands arbres s’élèvent dans le ciel et créent un contraste marquant avec l’horizontalité des deux ponts. Nous souhaitons donner la possibilité au piéton d’une pause au plus près de la nature. Nous avons proposé une atmosphère simple, presque minimaliste permettant d’acquérir une connexion visuelle avec le site où domine l’esthétique pragmatique de l’ingénierie ferroviaire. Le projet utilise le bois autant que possible, non seulement pour la structure de la passerelle, mais aussi pour le plancher, les balustrades et clôtures organisées dans un système de composition rythmique.